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C'est un site créé pour partager des informations, des connaissances. Sur ce site vous apprendrez des choses que vous ne saviez pas et vous pouvez apprendre aussi aux autres des choses qu'ils ne savaient pas, informons nous. Nous avons besoin d'informaions, car il y a tellement de choses à savoir et à connaître.

mercredi 15 octobre 2008

Ayitim.com

AYITI’M est un MEGA PROJET de site Web conçu par des universitaires haïtiens pour le plaisir, la formation et l'information d'internautes de divers horizons ayant particulièrement de l'intérêt pour Haïti, son histoire en général, et pour les haïtiens en particulier. Il est conçu par des haïtiens pour la fierté des haïtiens.

C'est un site multimédia et interactif devant permettre à ses visiteurs de trouver des informations nécessaires dont ils ont besoin autour de tout ce qui est haïtien en plus de trouver des icônes d’intérêt général très intéressants. Il est important de souligner à l’attention des utilisateurs de ce site, que AYITI'M vise essentiellement à mettre en valeur, Haïti et les haïtiens, vous y apprendrez beaucoup. Il constitue à ce titre un point tournant de la culture et des valeurs haïtiennes.

mardi 14 octobre 2008

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l'arbre magique

"Un voyageur très fatigué s'assit à l'ombre d'un arbre sans se
douter qu'il venait de trouver un arbre magique, "l'Arbre à Réaliser
des Souhaits".

Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de
se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté
de lui.

Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du bonheur
serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes
percluses. La jeune fille apparut et le massa très agréablement.

« J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait à
coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures
succulentes.

L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui
tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la
fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur
le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette
journée extraordinaire.

« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait
qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »

Un tigre surgit aussitot et le dévora."

Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.

Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées
négatives et vos peurs. En tout cas, il peut être parasité par
elles et se bloquer. C'est le mécanisme des soucis.

reference: www. club-positif.com

La confiance en soi : une clé maîtresse dans la sexualité

Nous passons parfois à côté de rencontres qui pourraient s'avérer déterminantes, ou nous mettons fin prématurément à une relation, faute de confiance en soi et de stratégies efficaces. Au lieu de chercher des excuses, de développer un sentiment d'insécurité ou de porter le blâme sur autrui, il nous incombe d'apporter les ajustements nécessaires pour améliorer notre sort sur les plans affectif et sexuel.

La confiance en soi constitue une des clés maîtresses qui mènent à l'atteinte de cet objectif.

Identité et image positive
Le cheminement personnel commence par la reconnaissance et l'acceptation de sa vraie nature. Chacun est un être différent des autres et possède une valeur réelle. Pour parvenir à se réaliser vraiment, nous devons entrer en contact avec ce qui nous habite et préciser nos désirs profonds. Ensuite, pour apprécier cette nature, c'est-à-dire pour en avoir une image positive, on doit se donner des moyens, comme par exemple apprendre à accueillir les compliments qui nous sont adressés ou oser les actions qui génèrent le sentiment de triomphe personnel.

Osez!
Plus on se connaît et s'estime, plus on ressent la conviction en ses capacités. La confiance en soi reflète cette certitude que l'on peut se fier à soi-même et nous pousse à prendre le bon risque. Lorsque ce dernier résulte en un succès, on se sent prêt à en prendre un nouveau. S'il s'avère un échec, on doit en chercher la cause et modifier notre stratégie. Quelle qu'en soit la conclusion, la prise de risques permet l'accroissement de la confiance en soi et demeure au coeur de l'apprentissage.

Les relations amoureuses
Lorsque le niveau de confiance est suffisant, nous augmentons notre chance de succès dans toutes les étapes d'une relation amoureuse, tant sur l'aspect relationnel que sexuel. En effet, il devient plus facile d'aborder et de séduire la personne qui nous attire en état de confiance. Cela nous sert aussi à établir et à vivre une relation authentique avec l'autre et à exprimer nos besoins, désirs, fantasmes et préférences. Par la même occasion, la qualité de cette confiance favorise une meilleure communication et donc l'entretien créatif et durable du lien amoureux.

Personne ne peut rien faire à notre place, mais certains professionnels peuvent nous aider dans notre démarche, en proposant de bonnes stratégies à expérimenter. Comprendre que la richesse de nos rapports avec l'autre repose sur une assurance et une générosité issues d'un cheminement personnel ouvre la voie aux transformations recherchées.

Marc-André Juneau, M.A.
Sexologue clinicien et psychothérapeute
Membre de l'Association des sexologues
Reference: http://www.servicevie.com/02Sante/sex/Sex14082000/sex14082000.html

Confiance ... Confiance en soi...?

Ah ! La belle confiance en soi que confirme la reconnaissance par d’autres de nos qualités personnelles et pourtant…Une comparaison désobligeante, un proche qui nous dénigre, l’impression soudaine de déplaire ou de ne pas être aimé et la traîtrise s’immisce, le sol se dérobe, l’atmosphère s’alourdit et…l’assurance se délite. Aussi authentique et solide soit-elle, des vents de panique ou des attaques d’angoisse, des événements inattendus ou des « catastrophes naturelles » en éprouvent la constance.

Composé de cum « avec » et du vieux français « fiance » (qui a donné et oui fiancé, fiançailles) confiance est dérivé du latin fidem « foi » et son équivalent savant étant confidence… c’est dire la richesse et la complexité de ce terme.

Mais le « soi » dont il faut s’assurer la confiance tout autant que la lui accorder est lui aussi porteur de sens. Entre le moi freudien, à la troisième personne du singulier, et le self de Winnicott qui peut être entendu comme le sentiment d’existence individuelle, il indiquerait ici le rapport entre le moi-sujet se constituant à travers diverses expériences et le sentiment de force qu’il se communique à lui-même…

Lieu psychique et physique, dans lequel la personne totale pourrait douter sans pour autant être inquiétée, il évoquerait un ressenti subjectif perçu avec un certain recul, pour s’affirmer, et soulignerait une perception distanciée entre la confiance et le sujet supposé l’avoir en lui pour lui-même. Il ne serait pas tant une figure humaine personnifiée qu’une structure - qui advient ou qui fait défaut - quand elle s’affirme ou s’esquive - au sein de laquelle se résoudraient les opérations psychiques complexes qui définissent l’être en devenir, et où se croiseraient, se heurteraient, se réuniraient, les diverses identifications qui le traduisent.

Avoir confiance en soi serait croire en un soi fiable, avoir foi en lui, ce qui suppose un moi bien constitué et suffisamment fort pour à la fois se reposer et compter sur lui pour avancer.

La confiance en soi serait la capacité de se vivre au jour le jour dans la certitude du lendemain. De se sentir aimé à n’en pas douter d’être aimable. De ne se laisser ébranler ni par la critique, ni par la flatterie. Ni déstabiliser par (ce) qui nous contredit ni altérer par le regard de l’autre tout en restant indifférent à la malveillance, à la mesquinerie, à la médisance.

Ce serait oser s’exprimer, oser entreprendre. Parcourir un chemin pour arriver à un but, surmonter les obstacles, croire en ses facultés, se connaître soi-même. Se sentir soutenu bien sûr par un entourage reconnaissant et ne pas renoncer à soi pour plaire à l’autre. Ce serait encore le désir de rester fidèle à ce qui nous tient à cœur dans la mesure où, conscient de sa valeur, on admettrait, en même temps, que son changement perpétuel au contact du monde, ses erreurs et ses errances autant que ses atouts et ses certitudes. Même sûr de soi, on traverse des périodes de doute ou de remise en questions qu’il faut s’avoir s’avouer si l’on veut en sortir.

Par l’adéquation qu’elle suppose entre le moi intime et le moi social, entre le vrai self et le faux self, cette expression où le soi s’adjoint à la confiance inspirerait une volonté d’équilibre entre l’intérieur et l’extérieur, l’apparent et le transparent, le visible et l’invisible, l’être et l’avoir, le présent et l’avenir. Entre nos différentes tendances, sans que l’une ne remette arbitrairement l’autre en cause, ni ne lui fasse violence en outrepassant ses droits…

À l’opposé, le manque de confiance se traduira par un sentiment diffus de non-existence, un fantasme de disparition, une volonté de s’annihiler plus tôt que d’encourir échec ou refus… Une insensibilité prétendue au froid, au chaud, aux variations de température, de crainte d’être dans l’erreur en témoignant de sensations que contredirait celui dont la confiance semble si supérieure qu’elle exclut sans conteste la nôtre. Une propension à la culpabilité, de préférence infondée, justifie ce manque de force intérieure, mais conjure l’anéantissement qui guette au contact du dehors…

C’est dans l’enfance que la confiance prend racine, s’élabore et plus tard se ressource. Un nourrisson ardemment désiré sera mieux armé que celui né « par accident ». Il est plus facile de s’aimer lorsque l’on a pu intérioriser un amour parental. Que l’on a été nourri par une mère elle-même étayée par son conjoint…et que l’un et l’autre fort et juste ont accueilli avec bonheur notre venue au monde. Dénigré par ses proches, on prend l’habitude de se dévaloriser et appréhende toute circonstance qui nous mettrait en valeur. Il faut apprendre à ne plus craindre d’être perçu aimable d’être qui nous sommes.

Les premiers liens nous imprègnent (ou non) d’une confiance primitive en la vie, sur laquelle se grefferont les bases de toute expérience à venir. Au-delà de la satisfaction des besoins, c’est à partir de la qualité de l’attention reçue que se constitue le ciment de sa résistance future aux épreuves. Choyé, un enfant aura plus de chance de développer une force qui le rassurera lorsqu’il se trouvera seul. Mais hyper protégé, n’ayant pu développer ses propres défenses, il ne serait pas pour autant à bonne école. Autant l’attache qui nourrit de force intérieure est indispensable autant, une fois inscrites dans la mémoire les traces de cet attachement sécuritaire, l’enfant doit éprouver seul cette force intérieure, et nouer des relations vers d’autres ports d’attaches.

Pour le tout petit, qui découvre son image dans le regard de sa mère ou le reflet que lui renvoie un miroir, il est naturel qu’il s’y accroche, mais à mesure qu’il tend vers l’âge adulte, il est lui vital de s’en écarter. En effet, le regard aimant d’une mère nous confirme, mais trop admiratif, il nous aliène et entraverait l’accès à l’autonomie.

L’objet transitionnel de Winnicott s’il est accepté et respecté par l’adulte peut faciliter ce détachement et permettre à l’enfant de poser les bases d’une confiance en soi en lui apportant dès le départ un espace potentiel, au sein duquel il se trouve et se retrouve, se créer et se récréer. Un champ d’expériences neutre qui n’aura été ni contesté ni troublé par des ondes négatives et dont les traces mnésiques le guideront de façon positive.

Que nous nous soyons vécu lésé trahi ou abusé dans la petite enfance, certains comportements dictatoriaux ou perfectionnistes sont la manifestation compensatrice d’un manque de confiance, tout comme les coups physiques sont un aveu de faiblesse qui s’ignore… Nécessaire pour féconder les germes de la confiance en soi, le narcissisme enfantin ancre dans la vie et toute expérience heureuse renforce le sentiment de sécurité ; bien entouré un enfant se sentira plus sûr qu’un autre, mais une trop grande assurance à travers le déploiement de forces héroïques disproportionnées en regard de l’âge, ou une excellence scolaire, allergique à la moindre baisse de niveau, pourraient dissimuler une inquiétude profonde ou tendre en fait à rassurer un parent insatiable, dont le propre sentiment d’insécurité exercerait une demande implicite mais autoritaire de réparation ou de valorisation.

Notre comportement agit comme modèle au niveau de l’inconscient. L’enfant a besoin d’être porté, rassuré ; savoir qu’il peut se reposer sur plus fort que lui pour gagner peu à peu ces forces qu’il ne songera bientôt plus à mesurer à celles de ses parents mais à celles de ses semblables le conforte. Ne pas limiter une volonté de puissance spontanée qui l’inciterait à un sentiment de supériorité sur sa mère ou sur son père, pour compenser une infériorité naturelle, le plongerait dans l’insécurité. Écho, au présent, de sa généalogie et du futur dans lequel il se projette, le soi est aussi la famille au sein de laquelle l’enfant se développe. Il doit pouvoir compter sur ses parents et non les dominer.

Quel que soit l’amour qu’il lui porte, tout parent est amené à contrecarrer le moi grandissant de son enfant. S’il a confiance en ses actes, en la légitimité de son opposition, aussi sévère semble-t-elle, il communique à son enfant, en même temps que l’esprit des lois, un sentiment d’accord avec soi-même qui l’autorise à heurter la sensibilité de l’enfant pour mieux l’assurer à l’avenir. Autant le contredire par plaisir serait néfaste, autant lui tenir tête pour transmettre l’idée de la vérité d’une éducation en dépit de certains de ses aspects rébarbatifs est stimulant.

L’enfant réagit souvent par des conduites excessives où de grandes certitudes l’invitent à croire qu’il peut faire l’économie de certains gestes pourtant créateurs de liens. Attitude de défense et réponse maladroite à des situations épineuses ou délicates que l’on perçoit comme dangereuses pour soi, une trop grande assurance vient souvent nier un sentiment de faiblesse interne, envahissant, menaçant et qu’on espère oublier tant on craint qu’il transparaisse trahissant cette faiblesse douloureuse qui nous révèle vulnérable….

Un bon idéal du moi compense nos failles, joue le rôle de réassurance, aide à dessiner une image de soi positive. En revanche, trop fort, il rend toute réalisation inaccessible. Et en matière d’éducation, viser trop haut pour son jeune enfant lui donnera le sentiment que ce n’est pas de lui, son moi du confiance « en soi » dont il s’agit, mais d’un projet qui ne le concerne sinon pour l’infirmer, insister sur sa fragilité, lui faire vivre une incapacité pénible à se conformer à ce qu’on attend de lui, un sentiment blessant d’étrangeté parmi ceux à qui il devrait commencer à s’identifier. Aider ses enfants, oui, mais les encourager surtout à se construire, à accorder leurs gestes à leurs désirs et non à se conformer aux nôtres.

Vulnérabilité maternelle, angoisse de ne pas être dans les normes sont parmi les sources les plus classiques, les plus communes du manque de confiance en soi (de l’enfant). L’acquisition d’une force intérieure personnelle, fondée sur l’autonomie de ses gestes, est rendue plus difficile. L’enfant prend toujours conscience de façon douloureuse de ses limites, de celles de son père, de sa mère. Et que sa famille ne puisse lui assurer l’absolue sécurité… l’inquiète. L’impression de solidité intérieure passant par la fiabilité des premières relations, un enfant avec les sentiments duquel on triche se sentira comme en danger perpétuel, inquiété par ce qui s’énonce avec des paroles comme une vérité et se traduit au quotidien par un manque d’attention ou une conduite qui affirme le contraire. De même, toute attitude parentale venant troubler ou affirmer sa confiance, l’invitation au mensonge signifiera à ses yeux une crainte d’exister au grand jour et lui communiquera, comme si la vraie vie n’était pas autorisée, un sentiment de honte de soi.

L’enfance de la naissance jusqu’à la maturité est la période de la formation, de la transformation, du perpétuel passage. Tel un parcours initiatique, les étapes se succèdent jalonnées d’épreuves. Passage du familial au social. De l’immaturité à la prise de responsabilité, de l’intérieur vers l’extérieur, de la dépendance à l’indépendance. Passage progressif et évolutif d’un lieu, d’une activité, d’un âge à l’autre…Chacun de ces passages marque un tournant qui implique un ajustage permanent de sa personnalité à la société, de son comportement à la collectivité, à des situations pour lui toujours nouvelles et surprenantes, comme autant de « baptêmes » dont il a besoin de ressortir entier, augmenté et non diminué.

Durant cette période qui s’étale sur de nombreuses années et ne laisse pourtant guère le temps de s’adapter à une situation sans avoir presque aussitôt à penser à une autre, il découvre ses ressources, prend conscience peu à peu que c’est à lui d’œuvrer pour son destin.

L’inconscient ayant ses lois que le conscient n’admet pas toujours, pour ne pas vivre en contrariété permanente avec soi autant être à l’écoute de cet inconscient plutôt que de nier ce qu’il veut dire en même temps qu’il veut dire quelque chose.

Pour donner à nos enfants les meilleures chances de s’affirmer avec bonheur, veillons à ne pas être contradictoire dans nos ordres et évitons l’injonction paradoxale paralysante, mais n’hésitons pas à pimenter nos remarques d’une pointe d’arbitraire, au cas où, emportés par une trop grande assurance, ils s’imagineraient n’avoir plus rien à gagner ! Les épreuves que l’on parvient à surmonter renforcent… Autant n’encourager personne à se plaindre en s’apitoyant sur son sort ou en le chargeant de nos faiblesses et nos incapacités !

Toute émotion qui précède un sentiment a sa légitimité. Pourquoi ne pas se fier à priori au bien fondé de nos réactions même si parfois elles ne reflètent pas les formes élégantes que nous aimerions leur donner ? L’émotion n’est pas notre meilleure ambassadrice, mais la refouler va à l’encontre de l’équilibre. Celui-ci n’implique pas une assurance permanente, mais la paix intérieure lui étant plus favorable que la crispation, il demande que l’on compose aussi avec ce qui fait la spécificité de sa sensibilité. Aussi maladroite fut-elle, il n’est de manifestation affective ou émotionnelle qui ne soit fondée, et quand bien même il en est une qui semblerait in-sensée, elle est le reflet d’une intime conviction que l’on ne sait encore traduire autrement que par la maladresse. Autant prendre le temps d’être à son écoute. La confiance passe aussi par la conscience de la valeur de ses actes et de leurs conséquences, du prix de ses erreurs. Avec le temps, on connaît et accepte mieux ses points faibles, on parvient mieux à les gérer, à s’en accommoder, même si parfois ils nous ébranlent encore ou portent ombrage à notre épanouissement. Il est important d’assumer ses réactions. Non, la colère n’est pas folie, ni le doute maladie à condition qu’ils ne deviennent des modes d’expression dominants au service de pulsions (auto)destructrices ou d’un autoritarisme vindicatif gratuit. Car un désir trop puissant et la passion s’installe, sapant la stabilité que confère la confiance, au profit de la violence. Aussi le meilleur moyen de sentir vibrer une force en soi saine et équitable reste d’agir, de créer, de produire… sans trop se laisser aller à ces états d’âme pourtant si magiques et propices à la poésie, ni emporter par un élan vital sans tenir compte de l’entourage. Donner la priorité aux tâches que nous avons à accomplir mais savoir rester tout à la fois vigilent et ouvert de cœur et d’esprit. Sans respect, nous nous détruisons en dédaignant la possibilité de nouer des relations équilibrantes. Trop révérencieux nous nous noyons dans l’autre et nous désagrégeons sous l’emprise du pouvoir qu’il exerce sur nous. Dépendre de contingences accessoires ou étouffer l’essentiel sous le superficiel nous amoindrit. Apprendre à ne rien attendre de l’autre mais être prêt à cueillir ce qu’il nous offre si cela nous convient ou oser refuser si cela nous déplaît, en évitant plein de fausses notes, diffuse un sentiment de justesse.

Avoir confiance en soi c’est aussi ne pas penser que tout nous est dû quand on a eu la chance d’être bercé par les fées… et qu’il suffit de réclamer ce que nous n’avons pas pour se donner les moyens de l’obtenir. C’est être fidèle oui mais à l’amour que nous avons reçu sans trop nous plaindre de celui qui nous a manqué, fidèle à qui nous étions quand nous l’avons reçu. C’est savoir ne pas s’enflammer quand la vie ne nous sourit pas ni se laisser démobiliser par ce qui est susceptible de nous décourager. C’est l’art de ne pas se détourner de soi-même en laissant son regard s’échapper là où il n’a rien à faire … de constructif. C’est savoir compter sur ses propres forces, sans reprocher à la vie d’être ce qu’elle n’est pas… C’est fermer l’oreille à ce qui excite les rivalités, ne pas gaspiller ses forces, pressentir les pièges, car toute force s’érode si on ne la cultive pas… Ainsi vaut-il mieux (se) refuser l’impression de se trouver dans le regard de l’autre… aussi tendre soit-il pour éviter le risque de se perdre dans un reflet flatteur ou désobligeant… Une vision quoiqu’il en soit partiale et plus que partielle de ce qui n’est qu’une idée de celui qui nous perçoit avec sa subjectivité. Veiller à ne pas se laisser investir par une représentation extérieure qui ne nous correspond pas, ne pas s’illusionner sur son pouvoir en le confondant avec son espoir, contribue à forger une identité sans la faire dépendre de ce qu’elle n’est pas… et donne les meilleures chances d’asseoir en son for intérieur la quiétude sur laquelle s’appuyer sans que ne parasite tout ce qui peut entraver nos actions et en compromettre la bonne réalisation.

Ne pas se laisser atteindre par qui excite la jalousie ou jongle avec les critiques. Flagorneuses ou outrageantes souvent elles nous enchaînent. Parfois cependant un regard se pose plus juste que les autres, il faut savoir le reconnaître : il aide à croire en soi, à mieux se définir pour s’affirmer avec justesse « tiens oui, je suis bien là ».

Second, on n’a pas les privilèges du premier… Premier on est privé des avantages du second… il faut apprendre à vivre sans… A chacun sa place (sur terre) avec ses limites et ses atouts, on ne peut devenir fort qu’à partir de ce que nous sommes, là où nous sommes, ce qui ne veut pas dire y demeurer, mais l’accepter est affaire de conscience et un bon tremplin pour amorcer sa force vers l’autonomie. Celle-ci avant de s’affirmer, s’acquiert, s’affermit, sur ce que l’on a et ce que l’on donne autant que ce que l’on reçoit, ce que l’on fait autant que ce que l’on est. Ce que l’on produit peut-être plus que ce que l’on consomme….

Ce n’est pas tant valoriser l’enfant qui compte que l’amener à prendre conscience de ce qui fait sa valeur en le mettant en situation de réussites à sa mesure, afin qu’il puisse garder la certitude d’un lendemain possible et découvrir le charme de cette fidélité à soi-même qui relativise toute menace de mort et aide à maîtriser nos pulsions agressives.

La confiance en soi fluctue. Tension et souplesse, force et vulnérabilité permanente, doute et certitude, sont les extrêmes entre lesquels elle oscille avant de se stabiliser pour s’élaborer. Si les épreuves la fragilisent sur l’instant, traversées dans l’intention d’être surmontées, à long terme elles la servent.

Ne pas se punir, ne pas donner prise aux mauvais sentiments, mais s’octroyer le droit au plaisir même en périodes de difficulté et celui de réussir, en ne plaçant pas la barre trop haut. Prêter l’oreille au doute sans trop y attacher d’importance favorise ce travail de résistance à l’adversité. Fidélité à soi-même dans son désir, ni statique, ni définitive, plus ou moins ancrée dans les premières heures de la vie, la confiance a besoin de grandir avec l’enfant, d’évoluer avec l’adulte. On l’apprécie, quand elle se fait oublier, tant elle nous affirme avec simplicité, mais on la redoute parce qu’elle nous déstabilise quand elle se révèle… par son absence.


Reference: http://www.psychanalyse-en-mouvement.net/articles.php?lng=fr&pg=10

Comment avoir davantage confiance en soi

Source: Par Suzanne Décarie, Capital Santé, décembre 2000/janvier 2001.

Timide, vous avez de la difficulté à prendre votre place? Vous doutez trop souvent de vous même? Vous manquez d’assurance? La confiance en soi, ça se travaille.

Pas agréable de se sentir nulle, inadéquate, incompétente. Épuisant aussi de toujours douter de soi, d’hésiter devant la moindre décision à prendre, de tout remettre en question, de chercher sans cesse l’approbation des autres, de se sentir constamment insatisfaite, vulnérable, coupable.

Que la vie est longue et triste quand on a peu confiance en soi!

La confiance en soi se construit dès l’enfance, en grande partie à travers le regard que les parents portent sur nous. Se sentir aimé pour ce qu’on est, être encouragée et félicitée nous propulse en avant. À l’inverse, le fait d’entendre constamment de faire attention, de ne pas toucher, de ne pas essayer puisque, de toute façon, on n’y arrivera pas, sape lentement, mais sûrement, la confiance en soi.

Heureusement, en cette matière, rien n’est irrémédiable. Plutôt que de s’enliser et de déprimer, on peut décider de réagir et de changer le cours des choses. Certaines personnes auront peut-être besoin d’une aide extérieure. Mais on peut toutes faire de grands pas si on s’y met vraiment. Comment? En apprenant d’abord à bien se connaître. Puis en passant à l’action, en accumulant de petites victoires qui, lentement, nous redonneront confiance. Mais pour cela il faut arriver à faire taire cette petite voix en nous qui tente constamment de saper nos efforts. Et nous serons alors capable d’affirmer de plus en plus clairement nos besoins, nos désirs et nos préférences.

S’observer en toute honnêteté

La première étape sur le chemin de la confiance en soi: apprendre à mieux se connaître, découvrir qui l’on est vraiment. Il faut prendre le temps de se demander, en toute lucidité, quels sont nos qualités et nos défauts, faire le bilan de nos réussites et nos échecs, dresser la liste de ce qu’on aime et de ce qu’on n’aime pas, de s’interroger sur nos valeurs fondamentales.

Ce petit exercice permet de réfléchir le plus honnêtement possible à la perception que l’on a de soi et à l’image que l’on projette. Soyez aussi tolérante et compatissante envers vous-même que vous le seriez envers votre meilleure amie. «Les personnes qui ont peu confiance en elles ont tendance à être très dures envers elles-mêmes. Pour elles, on est soit pourrie, soit parfaite!», remarque la psychologue Louise Descôteaux. Mais la réalité se situe généralement entre ces deux pôles.

La perception que les autres ont de nous aide aussi à mieux nous connaître. Ainsi, on peut avoir l’impression qu’on n’est pas très brillante mais sympathique, alors que les gens qui nous entourent nous trouvent au contraire plutôt intelligente mais brouillonne... Prêtez une oreille attentive à leurs remarques et à leurs commentaires. Vous pouvez même solliciter leur avis. En confrontant ainsi la perception que vous avez de vous-même à celle que les autres ont de vous, vous apprendrez peut-être des choses qui vous seront utiles.

Louise Descôteaux suggère également d’être attentive à ses réactions physiques. Votre coeur se met tout à coup à battre la chamade, votre respiration s’accélère, vos muscles se tendent, votre mâchoire se serre... tout cela peut vous fournir de précieux indices sur vous-même et sur les situations qui vous dérangent. Tiens, vous venez de baisser les yeux en présence de telle personne! Pourquoi? «Il faut observer ces petits signaux, mais sans les juger, dit Louise Descôteaux. Ce sont des indices qui peuvent nous aider à découvrir ce qui ne tourne pas rond.»

En étant ainsi attentive à vous-même, vous arriverez aussi à mieux comprendre les raisons émotives qui font que vous avez si peu confiance en vous ou que vous vous aimez si peu.

Après avoir ainsi obtenu un portrait plus réaliste de sa personne, on peut décider de modifier certains aspects de sa personnalité et d’en accepter certains autres, sans honte et sans regret, en se disant qu’ils font partie de ce que l’on est.

Agir

Eh oui! Prendre conscience de qui nous sommes ne suffit pas. Il faut ensuite passer à l’action si l’on veut changer. C’est dans l’action, en faisant des choses concrètes, que grandit la confiance en soi.

La vie de tous les jours nous fournit une foule d’occasions d’agir et d’augmenter cette confiance. L’important, c’est de se fixer des objectifs réalistes et de ne pas en déroger. «On s’attaque d’abord à des choses qui nous font plaisir, ou pour lesquelles on a du talent et qu’on a de bonnes chances de réussir», dit Louise Descôteaux.

Car la confiance grandit avec nos réussites et nos bons coups. Il ne sert à rien de vouloir escalader l’Everest si l’on a jamais fait de randonnée pédestre! Il faut d’abord s’attaquer aux choses qui nous semblent le plus faciles. Oser donner son opinion sur un fait d’actualité, par exemple, saluer un collègue qui nous intimide, converser quelques minutes avec un commerçant, aller seule dans un café... voilà autant de petits gestes qui nous aideront lentement à acquérir de la confiance en soi, dans la mesure où l’on est fière d’avoir réussi à les faire.

Affronter ses peurs n’est jamais facile. Le coeur s’affole, on a les mains moites, on voudrait mourir. Un conseil: respirer. «La respiration aide à trouver une sorte d’apaisement, de calme intérieur», explique Louise Descôteaux. Et puis on pense aux bons coups qu’on a réalisés et à ces bons mots que certaines personnes ont eus à notre égard. Et l’on fonce. Il n’y a plus d’autres choix.

Faire taire la voix de la critique

«L’autocritique et l’autodénigrement sont les grands ennemis des gens qui manquent de confiance. Ce sont eux qui les empêchent de bouger», dit la psychologue Sylvie Boucher, du Centre d’aide au développement personnel.

Comme elle est parfois tenace cette petite voix intérieure qui tente de saper nos élans... «À quoi bon!», «Ça ne marchera pas!», «Ça ne donnera rien!», «Qu’est-ce que les autres vont penser?», «De quoi vais-je avoir l’air?»

Quand cette voix insidieuse se fait entendre, il faut l’écouter. Eh oui! L’écouter d’abord. S’arrêter. Prendre le temps de se demander si ces idées négatives qui nous empoisonnent la vie sont réalistes. Vous considérez que vous avez été nulle dans telle ou telle situation?. Que vous avez eu l’air d’une vraie folle quand on vous a présenté telle personne? Vraiment? Analysez froidement la situation. Trouvez des éléments positifs, il y en a sûrement. Et servez-vous-en pour aller plus loin.

Et surtout demandez-vous si ces pensées négatives que vous entretenez à votre sujet vous aident à vous sentir mieux et à affronter vos peurs. Non? Alors, faites-les taire.

Rappelez-vous également que vous avez droit à l’erreur. Voilà que vous vous apprêtez à faire quelque chose que vous trouvez particulièrement difficile? Le pire qu’il pourrait arriver, ce serait que vous échouiez. Et puis après? Vous n’en mourrez pas. «Il faut avoir un certain humour, être capable de rire de nous et de la situation qui nous fait peur», dit Louise Descôteaux.

Savoir s’affirmer

Enfin, pour bien ancrer sa confiance, il faut aussi apprendre à s’affirmer, à dire ce qu’on veut et ce qu’on ne veut pas, ce qu’on ressent. On vous a blessée? Faites-le savoir. Telle attitude vous déplaît chez un collègue? Vous avez le droit de le dire. S’affirmer, cela s’apprend aussi.

S’ouvrir aux autres

Les personnes qui manquent de confiance ont souvent de la difficulté dans leurs rapports avec les autres. Elles ont l’impression qu’on leur veut du mal, qu’on les juge, qu’on les méprise. Là encore, demandez-vous si ces pensées sont fondées ou si elles ne sont pas tout simplement des créations de votre imagination. Avez-vous raison de vous sentir menacée? Qu’est-ce qui, concrètement, vous autorise à penser que telle personne vous méprise?

Et si la façon dont vous pensez que les autres vous perçoivent n’était qu’une projection de votre part, que le reflet de ce que vous pensez de vous?

Laissez aux autres la chance de vous connaître et de vous aimer. «Quand le coeur est ouvert, le contact avec les autres est facile. Mais il tourne à vide quand on passe son temps à s’observer et à se juger», remarque Louise Descôteaux.

La confiance attire la confiance. Quand on a confiance en soi et qu’on est bien dans sa peau, les autres le sentent. Et, forcément, ils viennent vers nous.

Posture et attitude

Les personnes qui ont confiance en elles se tiennent droites, elles ont un port altier et un léger sourire qui les rend sympathiques. Elles osent aussi regarder les gens droit dans les yeux (si l’on a du mal à le faire, on peut fixer un point situé entre les deux yeux pour s’habituer...). Pourquoi ne pas imiter leur comportement? Pour dégager une aura de confiance en soi, on se redresse, on prend de profondes respirations. Lentement, l’esprit aussi se redresse. On se sent déjà plus détendue, et un peu plus solide. «Le corps, le coeur et l’esprit, tout ça va ensemble, rappelle la psychologue Sylvie Boucher. Tout comme les pensées, les émotions et le comportement ne font qu’un.»Il faut donc être attentive à sa posture et aux traits de son visage. Pour être plus à l’aise, on s’exerce devant un miroir. Et quand on rencontre des gens qui nous impressionnent au point de sentir vaciller notre confiance, rien de tel que de les imaginer dans le plus simple appareil, en train de satisfaire certains besoins impérieux... Succès garanti! On se sentira presqu’instantanément sur un pied d’égalité.


Reference: http://www.acsm-ca.qc.ca/virage/adulte-couple/davantage-confiance-soi.html

Ne devenez pas son ami pour la seduire

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Qui est de nous n’a jamais entendu cette phrase : “Je préfère qu’on reste amis, tu es un mec adorable, et tu mérites une fille mieux que moi … ne gâchons pas cette amitié qui est entre nous, tu sais, je t’aime bien Richard … “


Maintenant, vous êtes capable de connaitre vraiment ce que cette phrase vous dit hein ? Pour parler simple, j’appelle cela, du foutage de gueule … Oui. De nos jour, il n’existe pas de RÉELLE amitié entre les femmes et les hommes, ils ne sont pas faits, pour jouer au Monopoly … Mais, ce que j’ai envie de souligner dans cet article, c’est la grosse connerie que certains hommes font : “Je vais devenir son ami D’ABORD, et je vais la draguer par la suite”, le fameux , amis d’abord, amant par la suite. C’est une stratégie tout simplement toute bête.

Analyse !

Donc je disais que, l’une des choses les plus minables, c’est de choisir justement, de se mettre soi-même dans la friend zone d’une fille, c’est à dire devenir son ami. Bon, c’est vrai, que ça peut paraitre moins douloureux que, d’être rejeter dans cette zone fatidique par les propres soins de la fille, mais c’est quand même, très con. Vous vous demandez pourquoi ?

Et bien sachez que, les femmes en général, pour ne pas dire, TOUTES les femmes, considèrent tout homme qui suit ce chemin d’amitié, est, un homme désespéré, pathétique et incapable de sortir de son cercle social *pourri* pour faire des rencontres, incapable d’avoir une vie indépendante et intéressante. Lamentable non ?

Pourtant, la formule est simple : “un ami elle voit, un ami tu seras”. Un bon copain elle voit, un nouveau toutou tu seras, pour ne pas dire autres choses …

Gentlemen, n’oubliez jamais que vous êtes le PRIX, que vous avez une vie sociale enrichissante et si intéressante, que, c’est un honneur et un privilège que VOUS donnez aux filles la chance de vous connaitre et tenir votre compagnie …Et c’est ça, et, uniquement ça qui fera de vous un grand séducteur, donc, un homme heureux, un vrai.

Parlons maintenant un peu technique. Comment éviter de tomber dans cette Friend Zone ? Et voyons ensemble, comment sortir de cette “toutou-zone” ?

Pour éviter le scénario horrible du “restons amis” c’est aussi très simple : Il y a cette fille que tu trouves toute mignonne et qui, t’intéresse, que TU sélectionnes comme petite amie potentielle, ben vas y franco et directe. Ne prends pas le ticket “ami-amant” mais plutôt, préfère l’option première classe, “amant-amant”. A quoi bon de voyager si l’on envisage pas d’être heureux ?

Pourquoi perdre du temps et de l’énergie pour UNE fille, normalement, tout séducteur qui se respecte, a une vie sociale importante, et sa vie ne tourne pas qu’autour des femmes, il y’a plus important …

En fait, il faut noter que, si la fille vous offre le droit d’entendre cette fameuse phrase “ohh c’est mignon tout ça, mais tu sais, je préfère qu’on reste amis.” Et bien sachez que, c’est UNIQUEMENT de votre faute. C’est parce que vous êtes ennuyant, que vous racontez votre vie tout le temps, que vous êtes une personne chiante comme la pluie qui ne séxue guère les conversations, que vous n’utilisez pas l’arme la plus puissante de la séduction, qui est le KINO, que vous êtes lâche, parce que vous ne communiquer pas vos réelles intentions et finalités.

Pour être franc avec vous, tout le monde est passé par là et, continue de le faire. Mais, j’ai pour vous une solution, ou que vous pouvez appeler des ” jockers “.
Explication :

Votre première carte que vous allez utiliser est, la JALOUSIE. Oui, j’ai bien dit jalousie. LE point faible de toute femme est justement la jalousie. Même si vous êtes des bons copains et tout, vous pouvez la surprendre voire la choquer.
Prenons un exemple :

Sarah est une petite fille de 5 ans. A l’occasion de Noël, sa maman lui offre une poupée. Sarah ne quitte plus son nouveau joué, ils sont tout le temps ensemble et ne se séparent plus. Seulement voila, Maria la petite cousine de Sarah débarque chez elle. La maman à Sarah donne à Maria cette poupée pour jouer un peu avec, et respecter les principes d’hospitalité.

Question : Décrire la réaction de la petite Sarah. Réponse : Elle flippe, et tape une crise.

C’est la même chose pour vous ici. En lui parlant de votre nouvelle amie que vous avez croisé en Metro, de votre nouvelle voisine qui vous a invité la veille à l’aider à choisir sa Deco, ou de votre banquière que vous trouvez toute mignonne, votre cible va tout simplement perdre le nord, et commencera de façon naturelle à avoir l’impression de vous perdre, de perdre son jouet si adore

La deuxième carte que vous pouvez utilisez aussi est, votre disponibilité. Pour l’amour du Dieu, arrêtez d’être souvent disponible pour elle, d’être TROP disponible. Cela montre que vous êtes désormais, quelqu’un d’occupé et donc, d’intéressant. Voici une petite astuce : Votre cible vous appelle pour prendre un pot amical ( qui est souvent le cas) acceptez pour refuser après.

  • Cible : Allo Bernard ?
  • Vous : Salut!
  • Cible : Alors tu vas bien ?? Bon ce soir je t’invite à prendre un pot
  • Vous : D’accord, y’a pas de soucis !
  • Cible : Alors à toute, même heure même endroit.
  • Vous : OK a++

Une heure plus tard …

  • Vous : Allo Sarah !
  • Cible : Ouiiii Bernard
  • Vous : En fait, je ne peux pas être là ce soir, mais j’avais complètement oublié, je devais voir Maria, celle dont je te parlais, on a un truc à faire…
  • Cible : Mais…
  • Vous : *la coupant* On laissera pour la prochaine fois Sarah d’accord ? J’espère que tu m’en veux pas!

Voici l’exemple de tactique que vous pouvez pratiquer si vous espérez conquérir votre dulcinée, mais, gardez dans la tête que :

“C’est très facile de séduire une nouvelle fille, que d’essayer de corriger les erreurs commises avec votre cible actuelle.”

Gardez à l’esprit que ce n’est JAMAIS la fin du monde, de se trouver un jour dans la friend zone d’une fille, essayer de la séduire sur plusieurs tentatives, pourrait nuire à votre santé, sachez tournez les pages ou, mieux encore, démarrez des nouvelles pages, de nouvelles expériences, de nouvelles aventures… Y’a pas plus beau que de rencontrer des nouvelles femmes !

Le derniers conseils :

    1. Ne devenez pas l’ami d’une fille qui vous plait.
    2. Arrêtez de raconter votre vie.
    3. Soyez une personne sexuée. (Vous pouvez approfondir le concept sur mon site)
    4. lirtez avec la jalousie.
    5. Arrêtez d’être TROP disponible.

Ton ami, Kamal

Reference: http://www.artdeseduire.com/les-bases/ne-devenez-pas-son-ami-pour-la-seduire#more-371

lundi 13 octobre 2008

Composantes et pièces d'ordinateurs



La majorité des composantes d'ordinateurs peuvent êtres changées pour suivre l'évolution du marché des ordinateurs. Voici la liste des pièces et composantes d'un ordinateur.

AGP : Accelerated Graphic Port. Ce type de fente à été introduite pour permettre au cartes d'affichage d'accéder directement la mémoire du PC sans passer par le bus PCI partagé et ainsi avoir une plus grande performance. Ceci surtout en réponse aux applications 3D comme les jeux et autres qui demandent plus de traitement. Il n'y as qu'une seule fente AGP sur les cartes maîtresse et est habituellement de couleur brune.

Fente AGP : Fente AGP

BIOS : Basic Input Output System. Le bios est ce qui contient la séquence de démarrage et la configuration de votre ordinateur personnel. Cette information est habituellement entreposée dans un ROM de la carte maîtresse et accessible au démarrage à l'aide de la touche supprimer.

BUS : Le bus est un chemin ou passe les datas des différentes composantes du PC comme les cartes PCI, AGP et autres.

Carte de sons : La carte de son sert à la production des sons du PC. Elle sont souvent stéréo et quatre points ou 5.1 pour accommoder les son ambiophoniques des jeux ou films. Certaines sont amplifiées.

Son in/out : Son in-out

Carte réseau : Cette carte sert à communiquer sur un réseau connecté sur un HUB ou une switch.

Port Twist pair : Twist pair

Carte VGA : Cette carte produit l'affichage que vous obtenez sur votre moniteur. La majorités utilisent la fente AGP de votre carte maîtresse. Il y as aussi des cartes VGA de type PCI qui sont plus lentes mais utiles pour avoir deux moniteurs sur votre ordinateur.

Carte VGA : Carte VGA

CD-Rom : Unité de disque compact qui remplace maintenant les disques souples de 1.4 MB. Ils peuvent contenir de 650 à 700MB de data. Ils sont eux aussi maintenant remplacé par les DVD-ROM.

Lecteur CD : Lecteur CD

CD-RW : Unité de disque compacte ré-inscrivible. Ils permettent d'écrire des data sur des CD vierges.

Clavier : Ceci est utilisé pour taper les lettres sur votre PC. Certains comportent des fonctions de fermeture ou démarrage de l'ordinateur ou autres fonctions.

Port PS2 de clavier : Port PS2 de clavier

Clé USB : Ce type de composantes est de plus en plus populaire pour le transport de donnés d'un ordinateur à un autre. Ils sont de type USB et automatiquement configuré par le standard Plug&Play. Ils fonctionne sur PC et MAC et on des capacités de 64MB et plus. Aucune configuration n'est nécessaire et sont ajouté aux ressources du PC comme une unité de disque.

Clé de mémoire USB : Clé de mémoire USB

CPU : Central Processing Unit. Ce processeur est le cerveau de votre ordinateur et sert à traiter les informations binaires des processus de votre PC. Plus le processeur est rapide, plus votre ordinateur sera rapide.

Processeur : Processeur

Disques rigides : C'est l'unité d'entreposage principal de données de votre ordinateur. Les logiciels, vos data et autres sont entreposé sur celui-ci. Ils sont habituellement de type IDE ou SCSI. IDE est utilisé pour les ordinateurs personnels et SCSI sur les serveurs.

Disque dur : Disque dur

Disques souples : Ce média est remplacé par les disques compacts car leur capacité est seulement de 1.4 MB et est facilement endommagé par des sources magnétiques.

DVD-Rom : Unité de disque DVD ou Digital Video Disk. Majoritairement utilisé pour les films, ils peuvent aussi contenir des logiciels. Ils ont une plus grande capacité qu'un CD conventionnel.

DVD-RW : Comme les CD-RW, cet unité peut inscrire les données sur un disque DVD vierge.

FireWire : FireWire est un peu comme un port USB mais plus rapide. Ils sont habituellement utilisés pour des caméra digitales, disques rigides externes et autre périphériques nécessitant une haute vitesse de transfert. Ces ports sont Plug&Play.

Port Firewire : Port Firewire

IDE : Ce port sert à connecter des disques rigides ou initées de CD/DVD. Ils sont habituellement fournis sur la carte maîtresse. Vous pouvez ajouter une carte IDE pour utiliser plus de 4 unités de disques sur votre PC.

ISA : Cette fente de la carte maîtresse est la plus lente car c'est un des premier bus utilisé sur les PC. Elles ne roulent qu'à 8mhz et ne sont fournies que pour des fins de compatibilité.

Fente ISA : Fente ISA

Mémoire cache : Ce type de mémoire est plus rapide que la mémoire RAM du PC et est utilisée pour accélérer le transfert de données vers le processeur. Certaines fonctions et données sont entreposées dans le cache pour en accélérer l'accès. La carte maîtresse et les processeurs ont habituellement de la mémoire cache.

Modem : Sert à établir une connecxion vers un autre ordinateur ou composante de communication. Ils sont très lent et sont remplacé par les câble modem ou ADSL.

Moniteur : Ceci sert d'affichage pour votre ordinateur. Ils utilisent habituellement un tube de genre TV et sont lentement remplacés par les modèles de type LCD.

Moniteur LCD : Moniteur LCD

NV-Ram : Non-Volatile RAM. Ce type de mémoire est souvent utilisé pour remplacer les ROM des bios permettant une mise à jour de celui-ci.

PCI : Peripheral Component Interconnect. Ce type de fente à été introduit pour remplacer les autres bus de type VLB, ISA... Elle permet un plus haut transfert du data.

Fente PCI : Fente PCI

Plug&Play : Ce standard à été ajouté pour permettre d'éliminer les configurations par cavaliers et les conflits cause par la mauvaise utilisations des ressources du PC. Les cartes sont détectés et configuré automatiquement par le bios Plug&Play et le système d'exploitation.

Port : Une connecxion qui sert a installer un périphérique à votre ordinateur.

Port série : Port série

Port parallèle : Sert à la connecxion d'une imprimate sur votre PC. Ce type de port est de moins en moins utilisé et remplacé par les ports USB.

Port parallèle : Port parallèle

Ram : Random Memory Access. Ce type de mémoire est utilisé pour l'écriture et lecture des différent processus de l'ordinateur. Les logiciels, leur data... sont chargés en mémoire pour leur exécutions. Plus vous avez de mémoire RAM, plus votre PC roulera les logiciels aisément.

Mémoire RAM : Mémoire RAM

Rom : Read Only Memory. Les mémoires ROM ne sont plus beaucoup utilisées car elles ne peuvent être accédés qu'en lecture. Les bios utilisaient des ROM. La majorité des bios utilisent la mémoire NV-RAM qui peuvent êtres ré-écrite et conserver leur informations sans le besoin d'êtres alimentées.

Sourie : La sourie est votre pointeur qui sert à sélectionner et indiquer les actions que vous désirez exécuter. Certains sont mécaniques et d'autres de type infra-rouge.

Sourie : Sourie

Unité de pouvoir : L'unité de pouvoir ou block d'alimentation sert à convertir le 110/220w en courant de 5v et 12v pour les périphériques de l'ordinateur.

USB : Universal Serial Bus. Ce type de port est de plus en plus utilisé car il permet de connecter les périphériques sans fermer l'ordinateur et sont automatiquement détectés et configurés à l'aide du standard Plug&Play.

Ports USB : Ports USB

VLB : Vesa Local BUS. Ce type de carte n'est plus utilisé et passaient par le bus du CPU pour accélérer le traitement.

Zip : Ce média est un disque souple comme les disquettes 1.44 mais pouvant recevoir une plus grande quantité de donnée, 100MB habituellement.


Reference: http://www.howdo.ca/ordinateurs/composantes.html

les principaux composants d'un ordinateur

Pour fonctionner correctement, un ordinateur standard a au moins besoin d'être équipé d'une carte mère, d'un processeur, d'une mémoire centrale, d'une carte graphique, d'un écran, d'un clavier et d'un disque dur. Reste maintenant à identifier la fonction de chacun de ces composants.

Se situe à l'intérieur du boîtier et c'est sur elle que sont fixés les autres composants internes de l'ordinateur comme le processeur et la mémoire centrale. Elle a aussi pour fonction de gérer les relations entre ces différents composants.

carte mere carte mere

LE PROCESSEUR

Aussi connu sous le nom de Micro-Processeur car de plus en plus petit, il est le véritable cerveau de l'ordinateur car c'est à lui que revient la tache d'effectuer tous les calculs nécessaires au fonctionnement de la machine.

LA MÉMOIRE CENTRALE

Aussi appelée RAM (Random Access Memory), mémoire physique ou encore mémoire vive, elle est au centre de la plupart des opérations car avant d'être traitées par le processeur les informations sont d'abord chargées en mémoire centrale puis transférées à ce dernier.

RAM

LA CARTE GRAPHIQUE

Comme son nom l'indique, cette carte est constituées d'un circuit qui permet d'afficher toute sorte de graphiques, y compris du texte, et permet ainsi à l'utilisateur d'interagir avec sa machine.

carte graphique

L'ÉCRAN

Il a pour fonction d'afficher sous une forme graphique les données renvoyées par la carte graphique. Ce n'est pas véritablement un composant de l'ordinateur mais un periphérique. Nous l'incluons ici car il nous semble indispensable.

ecran plat

En savoir plus sur les ecrans

LCD ou CRT que choisir ?

LE CLAVIER et la souris

Eh oui sans le clavier on se contenterait de regarder ce qui s'affiche sur notre moniteur sans pouvoir interagir avec notre machine. Il permet ainsi de taper du texte, de sélectionner des éléments ou d'effectuer certaines opérations. Cependant, de nos jours c'est la souris qui remplit ces fonction et le clavier ne sert généralement qu'à saisir du texte.

LE DISQUE DUR


Il permet, entre autres, de stocker toutes vos données numériques. En particulier il contient tous les fichiers nécessaires au fonctionnement de WINDOWS et de vos autres programmes et sa capacité de stockage est bien plus importante que celle d'un CD ou d'une Disquette, à noter qu'il existe aujourd'hui des OS capables de démarrer un ordinateur sans disque dur en utilisant la mémoire centrale pour stocker les fichiers nécessaires à leur fonctionnement.disque dur


Reference: http://www.culturepc.info/comprendre/ordinateur/composantes.ht

Les clés USB intelligentes avec technologie U3 Smart


Ceux d’entre vous qui ont rêvé de pouvoir mettre non seulement des documents mais aussi des programmes sur leurs Drives USB peuvent se réjouir. Les USB intelligents sont arrivéscruzer2-u3.gif.
Les clés USB gagnent en espace mém
oire mais aussi en services. Les Smart drives USB U3 sont des clés conçues pour héberger des applications. Alternative à l'ordinateur portable, elles permettent à l'itinérant de transporter son espace de travail personnel. Il lui suffit de brancher la clé à un PC sous Windows 2000 ou XP pour y accéder et exploiter les applications hébergées. Seul bémol, leur nombre est limité pour l'instant. On peut par exemple installer sur la clé l'outil de synchronisation de courriels et de fichiers Migo (Powerhouse Technologies), le lecteur multimédia Winamp (AOL), le client de messagerie instantanée Trillian (Cerulean Studios), l'antivirus U3 bâti sur la technologie McAfee et le logiciel de VoIP Skype. Quand l'utilisateur débranche sa clé, les applications se ferment et aucune donnée ne reste sur le poste de travail.
Le système est livré intégré dans les clés USB des partenaires de U3 tels Kingston Technology, Memorex, Verbatim, SanDisk, disgo, disk2go et Intuix . Les espaces disque (de 256 Mo à 4 Go) ainsi que le prix des clés varient selon les fabricants. U3 lance aussi un espace web de téléchargement de logiciels, U3 Software Central.

3.jpg« Avec ça, dit Kate Purmal en balançant l’un d’eux entre le pouce et l’index, vous pouvez vous baladez partout avec tout ce que qui fait que votre ordinateur est ‘personnel’ ». Kate est la PDG d’U3 la société qui vient de lancer la formule.

Les drives USB qui reposent sur une mémoire flash c'est-à-dire sans pièce qui bouge, sont devenus si populaires qu’il devrait s’en vendre 83 millions en 2005 et 115 millions l’an prochain. Ils sont légers, fiables et commodes pour transporter un document d’un endroit à un autre. Mais qui n’a pas ressenti une énorme frustration en se connectant à un ordinateur qui n’a pas le programme voulu, notamment dans les cybercafés ?

C’est pour résoudre ce problème qu’U3, une compagnie installée à Redwood City, au sud de San Francisco a lancé fin septembre des unités capables de contenir les programmes et pas seulement les documents.

Une telle unité se connecte au port USB de n’importe quel PC fonctionnant sur Windows 2000 ou Windows XP (une version Mac et une version Linux seront bientôt disponibles). L’ordinateur le reconnaît et une icône jaune « U3 » apparaît aussitôt dans la taskbar. Un simple click suffit pour voir le contenu de l’unité.

On peut ainsi voyager avec ses documents, ses applications et même l’environnement – y compris le wallpaper – de son choix. Et quand on le retire, aucune information ne demeure sur l’ordinateur hôte.

La gamme des gens susceptibles d’être intéressés semble, à en croire Kate Purmal, presque interminable : elle couvre du de jeux qui peut aller chez un copain avec le niveau atteint et les scores réalisés chez lui aux amateurs qui brûlent de montrer leurs photos à tout le monde ; des parents soucieux d’économie ravis d’acheter un drive plutôt qu’un ordinateur par enfant tout en étant sûrs qu’ils auront leur espace virtuel personnalisé (la même logique s’applique aux entreprises) aux voyageurs ravis d’aller plus vite au moment du contrôle de sécurité dans les aéroports.


Reference: http://gigistudio.over-blog.com/article-3225938.html

BID, lancement en Haïti d’un projet pilote : un ordinateur portable par enfant

La Banque interaméricaine de développement et la Fondation Un ordinateur portable par enfant (OLPC) financeront un projet pilote visant à tester si l’informatisation au cas par cas peut améliorer l'enseignement et l'apprentissage dans les établissements scolaires d’Haïti, pays le plus pauvre de l’hémisphère occidental.

L’OLPC produit l’ordinateur portable XO, ordinateur à faible coût destiné aux enfants vivant dans des lieux dotés d’une faible infrastructure. Cet appareil élémentaire, qui utilise un logiciel libre, peut être alimenté à l’aide de batteries automobiles, panneaux solaires, ou mécanismes tels que manivelles, pédales et cordons de tirage.

La BID va octroyer un don de $3 millions au projet pilote qui permettra de distribuer les ordinateurs portables XO à quelque 13 200 élèves et 500 enseignants dans 60 écoles primaires haïtiennes. La contribution de l’OLPC au projet s’élèvera à $2 millions.

« En Haïti, l’un des pays les plus pauvres au monde, le déploiement de l’initiative a toujours été un objectif important pour l’OLPC », a déclaré Nicholas Negroponte, fondateur et président d’Un ordinateur portable par enfant. « La réalisation de cet objectif avec notre partenaire de longue date, la Banque interaméricaine de développement, fait en sorte que non seulement nous disposons de la meilleure équipe mais aussi que l’activité servira de modèle pour d’autres pays en Amérique latine et dans les Caraïbes. »

« Nous disposons d’études sur l’impact des laboratoires informatiques et ordinateurs communs dans la salle de classe, mais une évaluation détaillée du modèle d’apprentissage qui consiste à doter chaque enfant d’un ordinateur n’a jamais été réalisée », a déclaré le chef de l’équipe du projet à la BID Emma Näslund-Hadley. « Ceci est essentiel pour déterminer l’efficacité du modèle dans des conditions de pauvreté extrême et en tant qu’outil pour un apprentissage accéléré. »

Le projet pilote établira dans quelle mesure une technologie d’apprentissage axée sur l’enfant peut être utilisée pour remédier à des problèmes tels que la pénurie d’enseignants qualifiés et l’éducation d’enfants de niveaux d’études différents dans une même salle de classe. Une autre priorité du gouvernement haïtien est d’accélérer le processus d’apprentissage pour les élèves qui s’inscrivent tardivement à l’école ou qui redoublent.

Dans le cadre du projet, le contenu du programme, y compris les manuels scolaires, films, fichiers audio et documents électroniques, seront traduits en créole et des applications seront développées sur des thèmes tels que la lecture et l’écriture, les connaissances numériques et la résolution de problèmes, les études environnementales et les compétences sociales.

Les enseignants et les élèves seront formés au fonctionnement des ordinateurs, à leur entretien basique, et à la résolution des petits problèmes. Les dépannages plus complexes seront pris en charge par les étudiants des écoles de formation professionnelle ou les conseillers locaux en technologie de l’information.

Le Bureau régional de l’UNESCO pour l’éducation en Amérique latine et dans les Caraïbes organisera des examens standardisés en mathématique et langue avant et après le projet pilote, afin d’évaluer sa performance d’un point de vue quantitatif.

Pour une évaluation qualitative, la pratique en salle de classe sera observée en permanence afin de déterminer si l’informatisation individuelle influe sur les attitudes et comportements en matière de gestion scolaire, l’importance attachée à l’éducation par les familles, l’utilisation des ordinateurs au foyer, et la perception des progrès pédagogiques des élèves.

Le projet pilote aidera aussi Haïti à évaluer les critères pour la conception et le lancement d’une stratégie nationale d’informatisation individuelle qui éventuellement pourrait s’étendre à l’ensemble du système éducatif.

Les ordinateurs de l’OLPC sont déjà utilisés dans les programmes éducatifs de deux autres pays membres emprunteurs de la BID, le Pérou et l’Uruguay, qui ont annoncé récemment une expansion de leurs programmes.

Reference: http://www.iadb.org/news/articledetail.cfm?artid=4413&language=Fr

vendredi 10 octobre 2008


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vendredi 3 octobre 2008

De l’utilité d’un ordinateur dans le soutien pédagogique spécialisé (SPS)

Ou les avantages de l’utilisation des TIC en solo avec un élève.
Pascal Menétrey, enseignant SPS à la Fondation de Verdeil, nous démontre l’utilité des TIC dans un article fouillé où les arguments et les faits avancés découlent d’une solide expérience de terrain.
L’ordinateur est vécu comme un réel plus dans cette relation à deux et se révèle être l’outil de travail privilégié.
L’ordinateur, un support complémentaire.
Le soutien pédagogique spécialisé est une offre destinée à des élèves en difficulté fréquentant les établissements de l’enseignement officiel. L’enseignant itinérant se rend donc sur le lieu de scolarisation de l’élève et propose une aide s’inscrivant dans un projet établi par l’ensemble des personnes concernées.
Une des particularités de cette fonction d’enseignant SPS est qu’il faut se déplacer régulièrement avec du matériel d’un endroit à un autre, en essayant de mettre à disposition de l’élève des supports complémentaires à ceux qu’il utilise dans sa classe, supports que l’on tente de rendre les plus diversifiés possible. L’ordinateur portable apparaît de ce fait comme un outil précieux par son côté aisé à transporter une quantité de logiciels utilisables à n’importe quel moment.
Cet avantage pourrait laisser croire qu’il ne s’agit là que du confort de l’enseignant, et que celui-ci, par souci de justification, cherchera ensuite à faire accepter les bienfaits secondaires dont bénéficient ses élèves. Alors, même s’il faut admettre qu’il est plus pratique d’avoir à sa disposition un maximum de matériel en un minimum d’espace, intéressons-nous aux réels intérêts en jeu pour les élèves.
Un outil adéquat et efficace
La pratique m’a démontré que l’outil informatique s’avère particulièrement adéquat lorsque le SPS se déroule dans une relation à deux, en face à face, dans une salle annexe comme c’est souvent le cas. Puisqu’il n’est pas forcément indiqué de faire "plus de la même chose", mais plutôt de le faire autrement, la reprise sur l’ordinateur de notions abordées - ou censées être acquises - en classe peut se réaliser avec des logiciels d’appoint (Cabri Géomètre, Atlas suisse, Maths Interactives...). D’autres logiciels, davantage orientés sur le "drill", sont également intéressants pour retrouver la confiance dans des moments vécus comme stressant et pendant lesquels l’élève perd habituellement pied (MacMath, Dicsonore...). Sans parler de toutes les fiches adaptables et réutilisables que l’on peut reprendre sous forme de test par exemple. Généralement, je propose à l’élève de se faire sa propre valise dans laquelle il range les alias des logiciels employés, les fiches dupliquées et personnalisées. Il peut de ce fait reprendre facilement les travaux en cours, les ranger dans son dossier, exercer par la même occasion la rigueur et la méthode, comme à sa place de travail en classe.

Dans cet environnement relationnel et de travail, les erreurs ne sont pas signifiées que par l’enseignant mais aussi par ce "tiers sans passion" qu’est l’ordinateur et avec qui le marchandage s’avère stérile. Je remarque fréquemment que l’élève se remet en question et cherche de ce fait moins à excuser ses fautes par des facteurs de causalité externes. Ceci est particulièrement marqué chez les élèves hyperactifs ou à haut potentiel. Ils montrent une meilleure aptitude à la concentration, ainsi qu’à la persévérance pour aller au bout de la tâche sans d’interminables négociations.

Précieux soutien à la différencication
La différenciation permet d’autre part de consacrer parallèlement du temps à l’élève pour s’occuper de notions plus techniques liées à l’utilisation de l’ordinateur, ceci en complément de ce qui se fait de manière parfois irrégulière à la salle informatique ou pendant les moments "creux" avec la machine se trouvant au fond de la classe. L’ordinateur est par conséquent considéré comme un véritable outil de travail et non pas seulement comme un jouet employé de façon privilégiée avec un enseignant juste pour soi.
En conclusion, je dirais que l’intérêt manifesté pour l’ordinateur dans le SPS ne baisse pas car la majorité des élèves plus âgés ont accès à cet appareil chez eux, et que je vois parfois de ces élèves, pourtant habitués aux jeux exclusivement, utiliser à la maison des documents ou des logiciels de consolidation découverts au SPS.

Référence: http://php.educanet2.ch/cybver/caa/spip.php?article26

Le portable oui, mais ...."


"Important : votre facture téléphone étant impayée, votre ligne sera coupée dès 18h ce soir France Télécom"

"Urgent: votre voiturea été volée et impliquée dans un cambriolage. Merci de contacter la gendarmerie.

"Votre numéro de GSM vient d'être tiré au sort et vous venez de gagner 10 000 F! Pour retirer votre prix, veuillez contacter votre agence France Télécom".


Et oui, ils sont pratiques, pas chers, commodes et dépanneurs ces petits messages miracles qu'on peut envoyer par le recours d'un curieur clavier et recevoir par un bip avertisseur. Ericsson, Nokia, Motorolla, Siemens, Alcatel, Sony, Panasonic. GSM, téléphones mobiles ou cellulaires, carte SIM, accès INTERNET, SMS - des mots magiques, des mots technologiques, des mots de notre quotidien. Pétit objet de sa taille - trouvaille technique de révolution dans les télécommunications.


C'est une présence obligatoire dans un grand nombre de pays Aux Etats-Unis plus de 100 millions de personnes utilisent le portable et on s'attend qu'il y aura environ 1,6 milliards de consommateurs à l'avenir.

Telle est la situation en Europe, telle devient aussi la situation téléphonique dans notre pays - la Bulgarie.

La moitié des gens ne peuvent plus s'imaginer la vie sans leurs portables. Le petit objet suit fidèlement son possesseur - dans son sac, dans sa poche, dans un étui spécial, il devient de plus en plus petit de dimensions et de plus en plus performant en exécution. Le GSM, au système digital, qui élimine tous les bruits parasites et toutes les perturbations dans la communication, avec lequel on peut contacter la personne voulue à travers le monde entier, quel bon miracle! L'utilité du portable n'est pas à contester.

C'est un ami fiable qui peut sauver la vie en cas d'urgence - lors d'un grave accident sur une route pendant la nuit, dans la neige profonde lors d'une glissade, dans un cambriolage à main armée - c'est bien le moyen unique qui fera venir le secours.

Il est impensable que l'homme d'affaires d'aujourd'hui puisse travailler, négocier, toujours en déplacement, sans le recours à tout instant de son portable. Oui, au début les consommateurs uniques étaient les gens de l'élite - les hommes politique, les banquiers, les gros industriels, les chefs d'entreprises.

Mais à présent, jour après jour le téléphone mobile gagne du terrain. Son usage se multiplie d'heure en heure, les firmes productrices n'arretent pas de lancer sur le marché des modèles de plus en plus sophistiqués et performants. La vente s'élargit de façon galopante. Aujourd'hui tout en chacun peut avoir son portable du plus jeune au plus agé à une condition près - etre solvable.

Car les tous petits même commencent à le réclaimer, une fois sortis de l'école maternelle, du moins c'est le cas en Bulgarie.

Pourtant les scientifiques commencent à prêter attention à ce phénomène, la plupart des gens sont contaminés par une maladie on dirait contagieuse, ils ne peuvent plus se passer de ne pas l'utiliser n'importe comment, n'importe quand une fantasie le plus souvent.

Hélas, le bien allant toujours de pair avec le mal, les scientifique américains ont trouvé ceci : après nombre d'analyses et d'examens, ils ont constaté que le portable peut provoquer le cancer du cerveau. On sait depuis longtemps que les rayons électromagnétiques peuvent nuire aux tissus doux de l'organisme. Ils essayent de répondre à la question - est-il possible qu'une petite quantité de ces rayons puisse causer des dommages sérieux? Les examens de gens malades de cancer présentent que le risque est minimal, mais tout de meme existant. Cela, bien sur, ne plaît pas à l'industrie du téléphones mobile et d'après les grandes firmes les résultats sont exagérés exprès.

Voici un code de bonne conduite que nous avons élaboré ensemble:

  1. Il est nécessaire qu'on ne parle pas haut au GSM en lieu public pour ne pas déranger.
  2. En salle de cinéma ou de theâtre il faut débrancher le portable ou le mettre sur un régime très bas ou bien même choisir l'option de vibration.
  3. Il faut interdire aux élèves d'en faire usage en classe.
  4. Il ne faut pas que les parents permettent à leurs petits enfants d'en avoir un.
  5. La bonne conduite exige qu'on ne se donne pas l'air fanfaron en utilisant le portable et ne pas faire étalage de leur possession.
  6. Il faut interdire par une loi votée l'usage du portable au moment de conduire, car souvent ceci peut amener de graves accidents.
  7. Il est bon de s'excuser après de son compagnon quand il est impératif de faire usage de son portable.
  8. Il ne faut abuser du portable pour parler sans raison précise.
  9. Il ne faut pas le laisser à la portée des tout petits enfants qui pourraient l'en servir comme d'un jouet.
  10. Il n'est pas de bonne conduite si par le portable on essaie de de faire démonstration de son niveau de vie.
  11. Il faut apprendre à tout le monde de débrancher son portable quand on se trouve près d'un ordinateur car on risque de l'abimer.
  12. Soyez gentils, parlez plutot aux gens directement que par l'intermédiaire du portable quand ce n'est pas nécessaire.


  13. Référence: http://babelnet.sbg.ac.at/canalreve/event7/prod/bulg.htm





Téléphone portable et santé

Le téléphone portable est accusé par les médias de maux aussi divers que migraines, trous de mémoire, tumeurs cérébrales voire Alzheimer.
En fait, aucune étude n'a pu prouver de tels effets. Ceci dit, il s'agit d'une technologie récente et il faudra du temps et d'autres études pour conclure ou non à l'innocuité de ces micro-ondes, d'autant que la sensibilité d'un individu à un autre est certainement très variable.

Ce qui est sûr, c'est que ces ondes entraînent un échauffement minime mais réel des tissus à proximité et donc du cerveau, et ce d'autant plus que l'os est mince et la tête petite.
Le kit mains libres ne résout pas tous les problèmes (au contraire même d'après certaines études)

Il en découle que certaines précautions semblent indispensables :
Limiter le temps et la fréquence d'utilisation, en principe le portable n'est pas fait pour raconter sa vie.
Eviter l'emploi par une femme enceinte, les bébés, les enfants, les personnes très âgées ou malades.
Eviter de téléphoner dans un endroit clos car les ondes sont renvoyées par les parois et multiplie les risques (automobile, aéroport, gare, maison)
Enfin, il est interdit de téléphoner en conduisant car là il est prouvé que les risques d'accident sont multipliés par 5 et que cela correspond à une alcoolémie de 0,5 g ! !

Les micro-ondes peuvent aussi provoquer des mini-étincelles et sont à proscrire dans les lieux susceptibles d'incendie (station d'essence, usines pétrochimiques, etc...)

Elles peuvent aussi interférer avec du matériel électronique (ordinateurs, radioguidage, etc..) D'où leur interdiction dans certaines circonstances comme les vols aériens.
Le même problème existe avec du matériel médical (pompe à insuline, respirateurs artificiels, hémodialyse, etc...), d'où l'interdiction du portable dans les hôpitaux ou cliniques.

Un cas à part le pacemaker : il peut théoriquement être altéré ou déprogrammé par un champ électromagnétique. Il est donc déconseillé à ces personnes de se servir d'un portable. Si cela est impossible, il est alors recommandé de porter ce portable à distance maximum (15cm au moins) du pacemaker, de téléphoner avec l'oreille opposée au côté d'implantation, de limiter la communication au temps minimum.

Par contre, le portable a d'indéniables avantages pour appeler les secours de n'importe où.
Il aurait aussi la vertu de favoriser l'affirmation de soi de certaines personnes, surtout les adolescents et entraînerait ainsi une diminution de comportements à risque tel le tabagisme, mais c'est à vérifier....
Il est certain que le portable est un phénomène de société dont l'analyse ne fait que commencer : cette facilité de communication ne cache-t-elle pas, paradoxalement, un repli sur soi, un sentiment d'isolement ou d'abandon, une peur de l'autre ?

Référence: http://www.medecine-et-sante.com/maladiesexplications/gsmsante.html

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Marc Richard Alexandre est né en Haïti à Port-au-Prince. Soucieux de pouvoir mieux se comprendre et de s'aider, il est allé faire des études en psychologie, et à travailler en tant que psychologue dans des organisations. S’il a été poussé à étudier la psychologie pour lui-même, il a découvert qu'il pouvait aussi aider les autres grâce à elle. Toujours intéressé au bien-être, il a découvert en lui une passion pour les livres de développement personnel et le coaching. Il a aussi une passion pour la musique, a enregistré ses propres chansons.

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